
Si en France on se plaint de la surpopulation carcérale, en Afrique c’est pire que tout ! Quel que soit le crime qu’un homme a pu commettre on a pas le droit de le traiter pire que du bétail… Actuellement dans des prisons africaines et notamment au Gabon, au Cameroun, des êtres humains sont parqués comme au temps de l’esclavagisme, attendant qu’on les sortent de là, attendant une clémence d’un gouvernement qui les ignore totalement, attendant de voir un jour nouveau se lever. Ces hommes sont entassés à plus d’une cinquantaine, ils dorment les uns sur les autres et les conditions d’hygiène ici j’en parlerais même pas !

Mais quand des hommes, sont traités de la sorte on est pas digne de faire partie de l’humanité et je lance un appel à tous ces soit-disant présidents en leur disant ceci….. ” Messieurs, vous êtes qui pour ignorer les souffrances des autres, vous êtes qui pour donner des pleins pouvoirs à des sous fifres qui prennent du galon subitement parce qu’ils martyrisent les autres, vous êtes qui pour donnez des leçons que vous même ne respectez pas, vous êtes qui pour vous croire intouchables, indestructibles ?”

” Un jour Messieurs sachez que tout se paie, rien ne se monnaye, lorsque vous serez devant la justice divine, elle comptabilisera au centuple les douleurs que vous avez fait volontairement aux autres. Alors réfléchissez et pour une fois servez-vous de votre cerveau pour au moins rendre décentes vos prisons et si la main d’oeuvre existe pas, vous l’avez déjà sous la main pour en construire de nouvelles, même si je sais que la plupart des gens dans vos cellules ne sont que des personnes qui ont eu juste le courage de dire ce qu’ils pensent ”

” Il y a plus d’intellectuels que de criminels dans vos geôles ! Aussi le délit n’est pas bien grand, car quand on est un grand homme, on laisse parler les langues et on prouve par ses actes que l’on peut être quelqu’un de tolérant et magnanime, que l’on peut être un grand chef d’état, ce que apparemment vous n’êtes pas. Vous êtes messieurs les présidents la honte de vos gouvernorats ! ” Paola