Bonjour lectrices & lecteurs du monde, alors en ce vendredi matin, et une fois n’est pas coutume, nous restons en France et là je vais parler de nos agriculteurs.
Oui notre agriculture est en grave danger, amenant la mort de nos paysans, de notre patrimoine et apportant la mal bouffe !!
Les agriculteurs français sont aujourd’hui au cœur d’une crise profonde. Alors qu’ils respectent des normes sanitaires et environnementales parmi les plus strictes au monde, ils se retrouvent concurrencés par des produits importés issus de pays qui utilisent encore des substances interdites chez nous. Pesticides, herbicides ou additifs bannis en France continuent d’être tolérés ailleurs, et ces denrées arrivent sur nos marchés à des prix défiant toute concurrence.
Cette situation crée une distorsion insupportable : nos producteurs, garants d’une agriculture plus saine et respectueuse de l’environnement, voient leurs revenus s’effondrer. Derrière les chiffres, ce sont des familles, des traditions et un patrimoine vivant qui risquent de disparaître. L’Europe, censée protéger ses citoyens et harmoniser les règles, apparaît ici comme incohérente. Comment justifier que l’on impose des contraintes lourdes à nos agriculteurs tout en ouvrant grand les frontières à des produits qui ne respectent pas ces mêmes exigences ?
Préserver l’agriculture française, ce n’est pas seulement défendre une profession.
C’est protéger notre souveraineté alimentaire, nos paysages, nos terroirs et une part essentielle de notre identité culturelle. Si rien ne change, c’est tout un patrimoine qui pourrait être sacrifié sur l’autel de la mondialisation.
Aujourd’hui, nos agriculteurs sont en danger. Danger économique, danger social, danger culturel. Car derrière chaque ferme qui ferme ses portes, ce n’est pas seulement une exploitation qui disparaît, c’est une part de notre patrimoine, de notre identité, de notre souveraineté alimentaire qui s’efface. Nos paysans travaillent dur, respectent des normes parmi les plus exigeantes au monde, pour nous offrir une alimentation saine et de qualité. Mais pendant ce temps, des produits venus de l’étranger, cultivés avec des substances interdites chez nous, envahissent nos marchés. Comment accepter cette injustice ? Comment tolérer que l’Europe impose des règles strictes à nos producteurs, tout en laissant entrer des denrées qui ne les respectent pas ?
L’Europe devait protéger, harmoniser. Mais aujourd’hui, elle fragilise. Elle met en concurrence des hommes et des femmes qui se battent chaque jour pour nourrir la France, avec des produits qui ne jouent pas selon les mêmes règles.
Alors je vous le dis : défendre nos agriculteurs, ce n’est pas un combat corporatiste. C’est un combat national. C’est défendre notre souveraineté alimentaire, nos paysages, nos terroirs, nos traditions. C’est défendre la France. Nous ne pouvons pas rester spectateurs. Nous devons nous lever, ensemble, pour dire que l’agriculture française n’est pas négociable. Qu’elle n’est pas une variable d’ajustement dans les accords commerciaux. Qu’elle est notre richesse, notre fierté, notre avenir. Alors chers(es) français & françaises, si nous voulons que demain nos enfants mangent encore des produits français, cultivés avec passion et respect, alors nous devons agir aujourd’hui. Soutenons nos paysans, exigeons des règles équitables, et rappelons à l’Europe que son rôle n’est pas de détruire, mais de protéger. Vive nos agriculteurs, vive la France !
Ce sera tout pour aujourd’hui chers(es) toutes & tous, mais ça me fout en rogne de voir qu’on mange (financièrement beaucoup ne peuvent pas acheter français) des produits de crottes venus d’ailleurs, bourrés de pesticides, d’herbicides et autres produits qui nous mettent des maladies à la con que personne ne sait soigner !! Je vous laisse réfléchir à ce sujet et lorsque vous pester derrière un tracteur qui est là juste pour faire son job, dites-vous qu’avec lui vous mangerez sain !! Sur ce, bonne journée !!
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Paola
