Bonjour à toutes & tous, alors aujourd’hui, je vais partager avec vous un article pris sur Facebook, sur la page « Le monde littéraire » et je crois que, sans être vindicative aucunement, les migrants de tous bords qui viennent en France et se plaignent tout le temps, alors qu’en général le gouvernement leur donne tout, oui ces gens là devraient un peu s’inspirer de cette histoire et pourtant elle s’est passée en 1883 !!
Il est mort à 37 ans, pauvre et oublié, mais aujourd’hui, vous utilisez son invention tous les jours de votre vie.
En 1880, une paire de chaussures coûtait plus que ce que la plupart des familles gagnaient en une semaine. Pas parce que le cuir était rare ou que les cordonniers étaient avides, mais à cause d’une étape impossible à mécaniser : le fameux « cousu durable », qui fixait la partie supérieure de la chaussure à sa semelle. C’était un travail d’une précision extrême, réalisé uniquement par des maîtres artisans, 50 paires par jour, du lever au coucher du soleil. Ils étaient irremplaçables.
Des dizaines d’inventeurs ont essayé de créer une machine capable de le faire.
Tous ont échoué. Jusqu’à ce qu’apparaisse un jeune immigrant noir, parlant à peine anglais, mais déterminé à réussir.
Jan Ernst Matzeliger est né au Suriname en 1852. Fils d’un Hollandais et d’une femme noire du Suriname, il s’est tôt passionné pour les engrenages et les leviers, pour le métal qui semblait avoir sa propre vie. À 21 ans, il arrive à Lynn, Massachusetts, la capitale américaine de la chaussure. Il voit le goulet d’étranglement qui limite l’industrie et comprend que personne ne croit qu’un immigrant noir pourrait résoudre le problème que les plus grands inventeurs ont échoué à surmonter.
Il ne demanda pas la permission. Il commença.
Il travaillait 10 heures à l’usine, puis étudiait seul à la lumière des bougies : anglais, dessin mécanique, ingénierie avancée. Pendant six ans, il construisit, testa et échoua à plusieurs reprises. On se moqua de lui, on le méprisa, des portes se fermèrent.
Mais il persista.
Le 20 mars 1883, le Bureau des brevets des États-Unis lui attribua le brevet n° 274,207. Sa machine ne se contentait pas de fonctionner, elle était révolutionnaire.
Là où 50 paires étaient fabriquées par jour, son invention produisait de 150 à 700 paires avec précision et régularité. En quelques années, le prix des chaussures chuta de moitié, et les familles purent, pour la première fois, chausser leurs enfants dignement.
Mais Matzeliger ne vit jamais la gloire. Pour financer la production, il dut céder des parts aux investisseurs, qui devinrent millionnaires. Lui ne reçut qu’un modeste paiement.
Il continua à travailler, mais l’épuisement, la pauvreté et l’absence de soins médicaux eurent raison de lui. En 1889, à 37 ans, il mourut de tuberculose.
Alors que ceux qui profitèrent de son invention vécurent confortablement, il disparut de l’histoire. Plus d’un siècle durant, son nom fut oublié.
Ce n’est qu’en 1991 qu’il fut reconnu par le National Inventors Hall of Fame.
Mais ce qu’ils ne purent jamais effacer, c’est la force de son invention.
Chaque chaussure produite en masse depuis porte sa marque invisible.
Chaque pas que vous faites, chaque paire de baskets ou de bottes que vous portez, existe grâce à un jeune homme du Suriname qui refusa de croire que l’impossible était impossible.
Son nom : Jan Ernst Matzeliger (1852–1889)
l’homme qui a mis le monde debout.
Comme vous le constatez chers(es) lectrices & lecteurs, lorsque l’on a du courage, des idées de la volonté, que vous soyez noir, beur, jaune, blanc, rien n’est impossible et au 21ème siècle, personne ne peut voler vos idées, elles sont protégées.
Alors pour l’amour du ciel, vous les migrants, arrêter de vous plaindre, personne n’a dit que c’était facile et c’est vrai que lorsqu’on arrive dans un pays qui nous est étranger, c’est difficile parfois de s’intégrer, mais quand on a la chance d’avoir de l’aide, alors avancez, c’est mon conseil du jour, seulement faut avoir le courage de se prendre aussi en charge, cela dit sans méchanceté, car il est évident que si un français (par exemple) sans argent arrivait en Afrique, le pays où il atterrirait ne lui donnerait surement pas tout ce que la France donne (c’est juste une réalité).
Sur ce, la bonne journée chez vous dans la sérénité et la paix.
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Paola