France – Ceux qui devraient être inéligibles





En France Mr Macron, notre nouveau Président avait décrété que tout devait être transparent, mais on s’aperçoit que la réalité est tout autre… M. Macron est soupçonné d’avoir utilisé les moyens du ministère de l’économie pour préparer sa candidature à l’élection présidentielle au début de l’année 2016 – période floue au cours de laquelle il a lancé son mouvement En Marche ! sans démissionner du gouvernement.

Ces allégations reposent sur les informations des journalistes Marion L’Hour et Frédéric Says. Dans leur livre Dans l’enfer de Bercy (JC Lattès), paru le 25 janvier 2017, ils affirment que le ministre de l’économie « a utilisé à lui seul 80 % de l’enveloppe annuelle des frais de représentation accordée à son ministère » (soit au moins 120 000 des 150 000 euros) avant sa démission du gouvernement, le 30 août 2016.

Il n’en fallait pas plus pour que le patron des députés Union des démocrates et indépendants (UDI), Philippe Vigier, accuse M. Macron d’avoir menti en assurant que « pas un seul euro d’argent public ne serait utilisé pour sa campagne » : car, selon lui, « 120 000 euros des crédits du ministre à Bercy [ont été utilisés] pour des agapes d’En marche ! pour réunir tel ou tel, pour préparer sa campagne présidentielle ». 

Emmanuel Macron l’a démenti à plusieurs reprises, et d’ailleurs, les journalistes Marion L’Hour et Frédéric Says ne mentionnent jamais dans leur livre le financement d’événements estampillés En marche ! par ces crédits ministériels.

Le tour de passe-passe de M. Macron aurait été plus subtil : il aurait simplement « élargi » le panel de ses rencontres, ciblant des interlocuteurs plus susceptibles de l’aider à préparer sa future campagne présidentielle qu’à alimenter ses activités de ministre… mais sans jamais se départir de ses habits de ministre.

Ce qui lui permet d’affirmer qu’« aucun centime du budget du ministère de l’économie (…) n’a jamais été utilisé pour En marche ! », alors qu’il a reçu à plusieurs reprises à Bercy des « amis » Facebook triés sur le volet pour échanger avec des Français ordinaires, ou qu’il s’est entretenu avec le politologue Stéphane Rozès ou l’écrivain Erik Orsenna. 

Le 1er février, sur TF1, Emmanuel Macron a assuré « assumer » avoir été un « ministre actif » : les 120 000 euros en question sont « des crédits de fonctionnement pour le ministère, qui vous permettent de recevoir vos homologues, des entrepreneurs, des femmes et des hommes de la vie française ». Ce qui est vrai.

En revanche, le candidat a pu embrouiller le téléspectateur de TF1 en mentionnant ses nombreux « voyages » dans « les capitales européennes » pour sa fonction de ministre. Ceux-ci ne relèvent en effet pas de la même enveloppe budgétaire, et ne peuvent en aucun cas justifier les 120 000 euros dépensés en huit mois. 

Comme l’a indiqué son ancien collègue, le ministre de l’économie, Michel Sapin, « Macron n’a pas dépensé plus que ce à quoi il avait droit très naturellement dans un ministère comme le nôtre », puisqu’il n’a pas dépassé le plafond annuel de 150 000 euros alloué à son ministère.

Pour être précis, ces crédits ne lui étaient pas alloués personnellement, contrairement à ce qu’il a affirmé sur TF1, puisqu’ils étaient censés être partagés avec ses deux secrétaires d’Etat, Axelle Lemaire (numérique) et Martine Pinville (commerce). Cela n’a visiblement pas été le cas, « mais cela se passe toujours comme ça, les secrétaires d’Etat sont toujours les derniers servis avec les frais de représentation », souffle-t-on à Bercy.

Le principal problème, c’est qu’il a utilisé en huit mois 80 % de ses crédits et que, comme le souffle une source administrative dans L’Enfer de Bercy, « s’il était resté, on ne sait pas comment il aurait fini l’année ».

Le problème a donc été réglé par la démission du ministre le 30 août 2016 et par le fait qu’aucun successeur n’a eu à pâtir de sa gestion – puisque son portefeuille a été intégré à celui de Michel Sapin, sans remplacement poste pour poste. (source « Le Monde »)

Il a fait également le choix de son Ministère mais on s’aperçoit que quelques uns traînent de jolies casseroles avec des histoires d’emplois fictifs ou encore comme notre premier Ministre Mr Edouard Philippe qui lui avait essayé de « gagner du temps » en remplissant sa feuille d’impôts par des propos inouïs ! 

En effet ce « gentil monsieur » quand sur sa feuille d’impôt concernant ses biens à la question ;  » A combien évaluez-vous vos biens immobiliers » il a répondu :  » J’en ai aucunes idées ! Franchement c’est normal ça ? Et il est pas le seul… on s’aperçoit au fil que les jours passent que d’autres ministres ou autres personnalités politiques sont mis en cause ! 

Anne Hidalgo, maire de Paris, par exemple a été condamnée en 2012 à 40 000 € d’amende pour infraction à la législation sur la durée du travail. Cela démarre en 2011 par le suicide d’une salariée de l’Atelier Parisien de l’Urbanisme, à la suite duquel l’Inspection du Travail décide d’ouvrir une enquête et découvre de nombreuses heures supplémentaires non payées. Rappelons qu’Anne Hidalgo a été inspectrice du travail durant 9 ans (1984 à 1993). 

Soutenu par le premier Ministre, il y a Richard Ferrand, qui est Ministre de la Cohésion des territoires, très proche de Mr Macron, qui est accusé par la presse de mélanges des genres entre ses affaires privés et sa vie publique … Pourtant Mr Macron Le chef du gouvernement a précisé qu’un ministre qui serait mis en examen devrait démissionner. Son gouvernement travaille sur un texte de moralisation de la vie politique, dont la présentation vient d’être reportée au 14 juin. Cette loi interdira la pratique des emplois familiaux, a précisé le Premier ministre.

Il y a aussi cette personne Fadida El Miri candidate aux législatives qui se permet de faire un doigt d’honneur sur la tombe de l’ancien Président Charles De Gaulle….

Encore une fois, devrait-on s’étonner de ce genre de saloperies quand même une candidate à la députation, n’ayant sans doute pas pu faire le voyage à Colombey, a du se contenter, à sa manière, d’un simple doigt d’honneur… Pour nous montrer quelle idée elle se fait du respect… du à celui qui, quoiqu’on en pense, lui permet aujourd’hui de se présenter devant les électeurs… alors que par son geste ci-dessous immortalisé, elle est ni plus ni moins la complice de celui qui a cassé la Croix à Colombey-les-Deux-Eglises

Ce n’est pas faire honneur à la France ça !!!! Et je pense qu’il faut avoir le QI d’une huître pour faire ce genre de conneries, perso jamais de ma vie je ne voterais pour une personne telle que celle-ci !!!! Alors elle est où l’irréprochabilité, la transparence, car je suis certaine que si on creuse bien, des casseroles et des délits quelconques ont va en trouver…  Ça c’est sur et certain et puis il faut dire qu’en France soit la justice est aveugle et sourde, soit elle  fonctionne à deux vitesses, celle des riches et celle des pauvres  !! Il est évident que si c’était nous, pauvres quidams, déjà un jour de retard, on te colle 10% supplémentaire sur tes impôts et en plus tu te taperas un contrôle fiscal si par hasard des trucs concordent pas ! 

Je pense en toutes sincérités, que tous ces gens là ne sont pas dignes de représenter une communauté et encore moins notre pays, ils devraient d’office lorsque l’on a pas un comportement irréprochable être tout simplement inéligible et radié définitivement d’une liste électorale quelconque !! Mais ce qui me choque vraiment, c’est que certaines personnes qui ont été accueillit par la France, qui ont surement profité du système, qui maintenant crache dans la soupe, c’est cet irrespect de notre législation, de nos lois, de notre laïcité, qui est remis en cause !!Pauvre France, qu’a t’on fait de toi ? Paola



A propos Paola

Mon pseudo "Kaki Sainte Anne" Ecrivaine, mais je suis Béatrice Vasseur et je signe tous mes articles ici sous le nom de "Paola" mon second prénom
Ce contenu a été publié dans France, Les Mots de Paula, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire