Par Joe Dinga Pefok – Les missions diplomatiques américaines et françaises au Cameroun ont commencé à chercher des moyens de NIB la crise anglophone escalade dans l’œuf. Même si les deux missions diplomatiques ont été silencieux sur leur volonté récente de trouver des solutions pour mettre fin à la crise anglophone, les commentateurs politiques sont unanimes que la participation de ces amis du Cameroun est une indication que les missions diplomatiques ne sont pas seulement préoccupés par la nature escalade de la la crise anglophone, mais ils sont également préoccupés par la manière dont le gouvernement Biya a été gestion de la crise.
En outre, la décision prise par les Etats-Unis et les ambassades françaises pour encourager le dialogue pour tenter de trouver des solutions à la crise anglophone, au lieu de l’utilisation de la force est une indication claire que les deux pays n’achètent pas les affirmations selon lesquelles les militants anglophones sont des terroristes.
En fait, un diplomate français de l’ambassade française à Yaoundé qui était à Bamenda la semaine dernière, n’a pas seulement rejeté une rumeur fausse que certains officiers militaires français ont été aident les militaires Cameroun dans la lutte contre les sécessionnistes dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, mais il a également précisé que la France considère que le conflit en cours au Cameroun comme une affaire interne et ne peut donc pas impliquer les soldats français.
Yaoundé Réunion Dans la dernière édition de The Post, nous a rapporté que l’ambassadeur des États – Unis au Cameroun, SE Peter Henry Barlerin, a récemment invité des dirigeants de la société civile distingués, le clergé et les représentants de certains partis politiques et des organisations de défense des droits de l’ homme à une table ronde à l’ambassade des États – Unis à Yaoundé. La réunion était destinée aux participants d’échanger leurs opinions et de proposer des moyens de résoudre la crise anglophone. Les personnes invitées à la conférence étaient: Christian Cardinal Tumi, Grégoire Owona, le professeur Maurice Kamto et Felix Barrister Agbor Balla entre autres.
Diplomate français à Bamenda Pendant ce temps, 2 au 6 Avril, un haut diplomate français, Philippe Lario, Conseiller spécial à l’ambassade française à Yaoundé, était à Bamenda, où il a eu des entretiens de consultation avec les membres du clergé, les membres de la société civile et organisations des droits humains , la réunion consultative était de chercher des moyens sur la façon de mettre fin à la crise anglophone escalade. Le diplomate français qui a parlé à Radio Equinoxe à Douala n’a pas révélé les noms des personnalités qu’il a rencontrées, mais a mentionné par exemple la rencontre avec des membres du clergé catholique.
Cependant, une source a révélé que les membres du clergé inclus l’archevêque de Bamenda, Mgr. Cornelius Fontem Esua, évêque auxiliaire de Bamenda, Mgr. Michael Bibi, entre autres. Le diplomate français a également rencontré d’ autres personnes basées à Bamenda et les dirigeants des autres cours d’ eau principales églises dans le Cameroun anglophone (l’Église presbytérienne au Cameroun PCC et Cameron Convention Baptiste, Radio – Canada.) Le modérateur du PCC, Rt. Rev Fonki Samuel Forba est basé à Buéa, alors que le président exécutif de la Société Radio – Canada, Rév Godwill Ncham Chiatoh, est basé à Notre – Dame, où la Société Radio – Canada dirige un séminaire de théologie. Il est rappelé que les évêques de la Conférence épiscopale Bamenda provinciale, BAPEC, ont depuis l’escalade de la crise anglophone, écrit au gouvernement un certain nombre de fois, retraçant les causes de la crise, en proposant des solutions et parfois critique du gouvernement pauvres objectivement gestion de la crise.
Mais malheureusement, les évêques BAPEC ont été accusés de soutenir la sécession et l’ archevêque Cornelius Fontem Esua, Mgrs. George Nkuo, Immanuel Bushu, Andrew Founya Nkea Agapit Nfon et Michael Bibi, ont été traînés devant les tribunaux. Pendant ce temps, l’ambassadeur des États – Unis et le diplomate français qui se sont rencontrés à Yaoundé et Bamenda respectivement, sont un contraste frappant avec les membres du gouvernement Biya, qui ont été le gaspillage des ressources de l’ État sous prétexte de chercher des solutions à la crise anglophone.
Apologistes du régime comme Philemon Yang, Mafany Musonge et Peter Paul Atanga Nji entre autres ont à plusieurs reprises, les délégations conduit sur le terrain pour discuter de la crise anglophone. Mais le plus souvent, les barons du RDPC mentionnés ci – dessus préféré rencontrer seules les personnes qui leur diront ce qu’ils aiment entendre. Ces personnes comprennent: l’ argent d’esprit et politically- partisans et les chefs Fons, qui ont depuis perdu le respect de leurs sujets en raison de leur quête effrénée de l’ argent.
D’autres comprennent des militants du RDPC locaux, qui ont peur de dire la vérité de peur d’être étiqueté comme sécessionistes ou de l’opposition, certains enseignants anglophones des syndicats des dirigeants, qui sont devenus professionnels « gombo accapareurs », engagé les dirigeants des syndicats des cavaliers de motards entre autres.
L’élite du RDPC ont évité des rencontres avec des membres du clergé, véritables organisations de la société civile, les organisations de défense des droits de l’ homme et des partis d’opposition qui insistera sur l’ honnêteté et indiquant les faits durs qui peuvent accélérer le processus de paix. Cependant, avec le calibre des personnes les diplomates américains et français ont rencontré à Yaoundé et Bamenda respectivement, il est clair que les États – Unis et les ambassades de France au Cameroun ont suivi de près l’ évolution de la crise anglophone depuis qu’elle a commencé en 2016.
Ils ont également pris note des patriotes camerounais, qui ont fait des objectifs, des propositions rationnelles, réalistes et concrètes sur la façon dont la crise peut être résolue. (Source CamerounPostLine)
