FRANCE – Les essais sur le traitement prometteur de l’institut Pasteur de Lille pour soigner le Covid19 retardés par le Minsitère

Coronavirus : un traitement prometteur découvert par l'Institut Pasteur de Lille

Bonjour à toutes & tous, je vais commencé aujourd’hui par une info de “Solidaire à Paris” qui m’a fait quand fait bondir même si je ne l’ai appris qu’hier. Le voici !
Et si un traitement contre le coronavirus existait déjà ? Des chercheurs de l’Institut Pasteur de Lille ont découvert en septembre 2020 l’existence d’une molécule potentiellement active contre le virus, et n’impliquant pas d’effets secondaires selon toute vraisemblance.
Des essais prometteurs qu’un comité ministériel a décidé de bloquer.
La recherche d’un traitement contre le coronavirus fait un pas en avant… Pour faire deux pas en arrière !
Petit rappel des faits : des chercheurs de l’Institut Pasteur de Lille annonçaient mardi 29 septembre 2020 au micro de nos confrères de RTL avoir potentiellement découvert un traitement contre la Covid-19, une molécule plus précisément, qui semble active contre le virus. Un traitement déjà utilisé sur le continent européen pour d’autres usages, et qui pourrait être produit à plus grande échelle pour une commercialisation en 2021, après validation par les instances supérieures concernées.

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Sauf que mardi 9 février 2021, c’est un revers cuisant que subit l’Institut… Et pour cause, un comité ministériel, la CAPNET, a décidé, selon nos confrères de La Voix du Nord, de ralentir les recherches, et plus particulièrement le processus d’homologation du traitement avant sa commercialisation.
La raison ? “Visiblement, ce comité ne comprend pas ce qu’est un repositionnement“, explique Terence Beghyn, président d’ Apteeus, biotech travaillant avec l’Institut Pasteur sur ce projet, toujours à nos confrères de La Voix du Nord.
Le comité suggère des amendements à la stratégie de développement clinique et principalement un redimensionnement initial de l’essai“, indique de son côté l’Institut Pasteur de Lille. Pour Terence Beghyn, c’est l’incompréhension : “On nous demande de repasser en phase 2 et de mesurer la tolérance du produit et son acceptabilité alors que tout cela est déjà très documenté“, s’étonne-t-il. Et de poursuivre : “Nous travaillons à partir du repositionnement d’un médicament dont la balance bénéfice-risques est bien connue. Selon nous, elle nous permettait d’accéder directement à une étude clinique de phase 3“.
Du côté de l’Institut Pasteur, on préfère rester optimiste : “On va perdre quelques semaines, mais le principal, c’est d’avancer“, souligne de son côté Xavier Nassif, le président de l’institut, tout en expliquant “prendre très au sérieux les recommandations de cette instance“.

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Xavier Nassif

Concernant ce traitement, quel est-il ? Toujours selon Xavier Nassif, il s’agit d’une molécule “un peu confidentielle“, découverte “par une technique de repositionnement, c’est-à-dire qu’on prend les médicaments qu’on trouve en pharmacie et on voit si, par miracle, il n’y a pas une molécule qui pourrait être efficace sur ce virus alors qu’elle n’avait pas été conçue pour ça“, explique-t-il.  “On veut garder le nom du médicament secret pour pouvoir éviter le marché parallèle, les prescriptions sans contrôle et la maitrise des stocks“, souligne de son côté un chercheur.
Selon nos confrères d’AEF Infos, il s’agirait du Clofoctol, un antibiotique efficace contre les affections respiratoires bénignes, administré sous forme de suppositoire et commercialisé en France entre 1978 et 2005 sous le nom d’Octofene. Une information que l’Institut Pasteur n’a pas souhaité confirmer ni infirmer pour éviter, le cas échéant, la rupture de stock et l’incapacité de poursuivre ses essais cliniques.

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Octofène

Comment fonctionne-t-il ? 
Là également, Xavier Nassif donne une réponse : “On a utilisé ce produit qui n’est pas totalement répandu. Le principe actif vient se concentrer dans les voies aériennes, les poumons, là où se trouve le virus au début de la maladie“, explique-t-il. Et de poursuivre : “Dans tous les tests réalisés, cette molécule inhibe la réplication du virus. […] C’est une molécule qui est très peu utilisée et qui ne présente pas de problèmes particuliers en termes d’effets secondaires. Donc elle pourrait être administrée sans risque“.
Où en sommes-nous dans les essais cliniques ? 
Après avoir été testé sur des cellules humaines infectées, avec un certain succès, ce traitement mystère a fait l’objet d’une étude préclinique en octobre 2020 sur des singes. Quant aux essais cliniques sur l’être humain, celles-ci devraient se tenir, selon Benoît Déprez, “en double aveugle, contre placebo, dans lequel ni les médecins ni les patients ne savent s’ils emploient le médicament ou un placebo qui ne contient pas le principe actif“, comme le rapportent en décembre dernier nos confrères de Sciences et Avenir. Concernant les résultats, si tout se passe bien et que les autorités sanitaires suivent de près l’avancée des travaux, ceux-ci devraient arriver dans le courant du mois de mai 2021.
Quand sera-t-il commercialisé ? 
Selon le directeur de l’Institut Pasteur de Lille, l’idée était de le proposer sur le marché dès le printemps 2021 : “On fait le design de cet essai, ensuite on va demander les autorisations nécessaires, mais ça va prendre un certain temps“, évoquait-il il y a plusieurs semaines. Et de continuer : “On se demande aussi à qui cette molécule va être destinée, aux gens très peu malades, aux porteurs asymptomatiques pour qu’ils sécrètent moins longtemps le virus, ou encore aux gens très malades. Si on fait les essais cliniques rapidement, on vise la fin de l’hiver 2021“. Une date qui sera de toute façon repoussée, à cause du comité ministériel.
(Source : “Solidaires à Paris – Par Laurent P. · Publié le 12 février 2021 à 19h42 · Mis à jour le 13 février 2021 à 12h35)

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Comme vous pouvez le constater chers(es) amis(es) tout cela est à mon avis encore une histoire de gros sous et surtout de notre gouvernement qui veut se faire passer pour le sauveur du monde, en montrant que la vaccination est la seule option possible, mais aussi pour s’afficher aux yeux des autres pays qu’il a gérer la crise bien mieux qu’eux !!
Il joue la carte du sauveur, mais il oublie juste les 83 432 défunts qu’il a laissé mourir alors que le nombre aurait pût être bien moins élevé, s’il avait écouté des chercheurs, des scientifiques qui ont fait leurs preuves depuis longtemps sans rien demander à personne.
Cette guerre bactériologique, puisque nous sommes en guerre, le président Mr Macron avec le verbe gaullien l’à répété six au début de l’épidémie dans son allocution télévisée, alors qu’il savait pertinemment que cette pandémie était déjà là en 2019 !!
La “Mise en danger de la vie d’Autrui” coûtera très cher à notre chef d’état et son gouvernement d’incapables qui privilégient l’argent avant les gens !!
Sur ce chers(es) tous(es) méditez là-dessus et je vous souhaite un excellent jeudi !
Les images posées sur cet article ne sont pas ma propriété !! Paola

A propos Paola

Mon pseudo "Kaki Sainte Anne" Ecrivaine, mais je suis Béatrice Vasseur et je signe tous mes articles ici sous le nom de "Paola"
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