Bonjour à toutes & tous, je vais commencer aujourd’hui par une article trouvé sur ” coupsfrancs.com “, site où je suis abonnée et j’ai décidé de partager cela avec vous, en voici la teneur !
Hier en écoutant le petit frère PEK a la télé, on dirait un homme qui est prêt à en découdre à n’importe quel moment. Il reproche au directoire du MRC de vendre les postes dans son bastion politique le MOUNGO . Après avoir écouté ce monsieur parler de la « Vente des postes » ? Je peux y croire le MRC étant fait essentiellement des commerçants.
Cet homme mal né politiquement persiste en disant que son parti le MPCN a une convention avec le MRC et défend en disant qu’il est hors de question que ses militants soient en compétition avec ceux du MRC dans le MOUNGO qu’il dit être son bastion politique.
À cet effet, il dit: « J’ai respecté ma part du contrat, j’ai tontiné et maintenant j’attends le retour de l’ascenseur. Je dis à Mr Maurice Kamto de ne pas tomber dans ce piège parce que je n’accepterai pas et jamais que le MRC ne fasse concurrence dans le MOUNGO »
« J’ai risqué ma vie pour Kamto, j’ai été son directeur de campagne, j’ai passé 9 mois de ma vie en prison pour lui, j’ai risqué la peine de mort pour lui. J’exige de lui de me rendre la pareille »
« Si non je suis prêt et très prêt à faire une autre résistance et cette fois là pas contre le gouvernement mais contre le MRC »
« J’exhorte donc mon partenaire politique à faire preuve de bonne foi et de sagesse »
La bataille s’annonce très rude car le Moungo regorge en son sein des Bamilekes qui font en moyenne 67% de la population et qui sont les potentiels électeurs du MRC. Je vois mal Maurice Kamto se ressaisir face aux injonctions que lui profère PEK.
PEK n’a pas l’air de blaguer avec Son MOUNGO . La cuitude s’annonce. Aristide Sitchom (source coups francs.com)
Voilà chers(es) lectrices & lecteurs du site, amis(es) camerounais(es) et d’ailleurs, je vous retrouve un peu plus tard, en attendant, je vous souhaite à toutes & tous une agréable journée de vendredi.
Prenez soin de vous. Paola
